Madrid 8 octobre 2023 – 6ème de Feria d’Automne – Borja Jiménez coupe trois oreilles et sort en triomphe par la Grande Porte. “Román” blessé à son premier. Toros de Victorino Martín.

La corrida de Victorino Martín qui clôturait la

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Feria d’Automne de Madrid dans la ligne et le type de cet élevage incontournable a permis de révéler au grand public le torero d’Espartinas (Séville), Borja Jiménez, qui triomphait en coupant une oreille à chacun des trois victorinos qu’il combattait dont un à la suite de la blessure de “Román” au premier. Le Mexicain Leo Valadez passait sans peine ni gloire peu familiarisé des toros de l’" href="https://toreoyarte.com/glossaire/encaste/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">encaste Albaserrada. Borja Jiménez devient sans doute et ainsi un des toreros préférés de l’afición de Madrid, après sa confirmation d’alternative le jour de Pâques, sa présence à Las Ventas face aux toros de Robert Margé en juillet et finalement s’élevant finaliste de la Copa Chenel où chaque fois son style, son placement et sa vaillance le faisaient remarquer et hautement apprécier. Elève de l’Ecole Taurine d’Espartinas, fief de Juan Antonio Ruiz “Espartaco”, son parrain d’alternative, Borja devrait désormais, la saison prochaine, sortir de l’ostracisme dont sont victimes les toreros “indépendants”(n’appartenant à aucune des “familles” ou conglomérats qui monopolisent l’industrie taurine).

Les toros de Victotrino Martín faisaient une nouvelle fois la vedette et pour la deuxième fois cette saison, à moindre degé par rapport à leur présence lors de la clôture de la San Isidro, mais ils offraient le spectacle habituel par leurs

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/hechuras/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">hechuras” et encornures caractéristiques, leur tempéremment aussi, tantôt compliqués, plus nobles que d’habitude certains, mais toujours redoutables. Tous des cuatreños avancés sauf le 4ème " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cinqueno/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cinqueño (02/2018), homogènes en poids  de moyenne 540 kg.

“Román”, chef de Cada toro tiene su lidia: expression par laquelle il est précisé que les conditions de chaque toro sont différentes, en conséquece, les diestros devront en connaître les réactions pour pouvoir briller.

 
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/lidia/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">lidia, touchait un premier victorino long de corps, bas sur pattes qui “humiliait” d’entrée de manière presque exagérée, tobillero de plus, qu’il amenait avec métier au centre du