Sans doute ce fut une des corridas les plus glorieuses pour Paco Ureña – à Bilbao de surcroît - sous une chaleur étouffante et un peu plus d’une demi-arène. Les toros étaient un mix de deux élevages qui en fait n’en sont qu’un seul, Jandilla (1er, 2ème et 5ème) et Vegahermosa (3ème, 4ème et 6ème). Des toros pour Diego Urdiales, Cayetano Rivera Ordoñez et Paco Ureña, ce dernier touchant les deux meilleurs lui assurant un succès extraordinaire. C’est dire que ses compagnons de " lorsqu'il jouit d'une certaine notoriété et estime du public.
Paco Ureña affrontait le 3ème, un toro de charge courte dès les premiers " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capotazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capotazos. Il se déplaçait assez peu durant le deuxième tiers tant et si bien qu’Álvaro López «Azuquita» qui plantait sa paire de banderilles au toro arrêté était néanmoins poursuivi, perdant pied contre les planches. Il échappait de justesse à une " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cogida/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cogida au sol ! La faena de muleta commençait supérieurement par statuaires, passes par le bas et passe de poitrine, le tout en continuité. L’entame parfaite qui montrait aussi bien la condition du toro - charge courte mais obéissante – que celle du torero parcimonieux mais ferme dans ses gestes et déplacement. Au centre du