La corrida de La Palmosilla bien présentée, avec un excès de volume évident pour le sixième, a provoqué un" teasing" manifeste, montrant par moment des qualités louables mélangées à des vices profonds et surtout une durabilité très limitée due à un manque de caste.
GALVAN confirme avec un premier Toro bien fait, un peu " href="https://toreoyarte.com/glossaire/montado/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">montado, qui montre les pointes, Il n'humilie pas au " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capote/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capote et trébuche. Après un tiers de pique en mi teinte GAVAN donne un quite par Passe de cape tenue dans le dos qui, de trois-quart ou de profil, consiste à donner un mouvement semblable à celui d’une passe de muleta à droite ou à gauche, généralement enchaînée avec une autre gaonera cette fois du côté opposé, c'est-à-dire sur la corne opposée. Elle tient son nom de Rodolfo Gaona (1988-1975), grand torero mexicain qui l’exécuta pour la première fois en 1910.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/gaonera/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">gaoneras, serrées car le toro se colle. Le