Je dois avouer avoir anticipé avec intérêt cette corrida, seconde de San Isidro. Au bout du compte la déception est de rigueur. Un toro de Fuente Ymbro, le second, a fait vibrer Las Ventas. Sa robe et son trapio faisaient penser à d'autres origines. Mais son combat a marqué la différence et fait la joie du ganadero. Ureña a laissé passer l'opportunité de triompher non sans avoir essayé avec " href="https://toreoyarte.com/glossaire/entrega/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">entrega. Le reste du lot a été soit manso, soit faible. Le dernier n'a pas supporté de vrais piques. Les poids étaient raisonnables et ne peuvent servir d'excuse pour le manque de fond des autres exemplaires tous bien présentés sauf le dévuelto el le sobrero qui avaient un trapio différent de leurs frères et inhabituel pour cette ganaderia.
César Jimenez qui a ouvert trois fois la grande porte de Madrid comme " href="https://toreoyarte.com/glossaire/matador/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Matador, mais torée peu depuis un certain temps, vient à Madrid essayer de relancer sa carrière prometteuse à l'époque de son Alternative à Nîmes en 2002. Il n'arrive pas à toréer le premier Fuente Ymbro dont la charge lancinante ne lui convient pas. Le