Ceux d’entre nous qui espérions pouvoir terminer en beauté cette Féria de Bilbao avec les Miuras, avons dû déchanter. La faute en revient au lot de toros choisis pour cette course. S’ils étaient tous charpentés et lourds, ils manquaient de " href="https://toreoyarte.com/glossaire/remate/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">remate pour Bilbao et surtout de race pour donner le minimum de jeu dont auraient pu profiter les espadas.
Domingo Lopez Chaves reçoit le premier Miura avec précaution compte tenu de la charge sans "humiliation" et des " href="https://toreoyarte.com/glossaire/derrote/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">derrotes prodigués par le premier animal. Au cheval ce dernier garde la tête haute, sans pousser démesurément, sous deux piques sévères. Le début de faena est conditionné par cette tête relevée du toro. Les Passe de muleta donnée de la main droite. Elle est le pendant du natural (naturelle) donnée de la main gauche. Dans le derechazo l'épée est également tenue de la main droite et sert de support au tissu de la muleta.
Le second Miura de Lopez Chaves est reçu par deux largas cambiadas le long des tablas et quelques lances de recours. La charge est anodine, tête haute et incomplète. Le toro proteste sous les piques. Dès les premiers muleta”, une passe quelconque ou bien une passe technique et profonde.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">FERIA