Petite entrée pour cette avant dernière corrida de la semana grande de Bilbao. Un lot de Santiago Domecq inégal de présentation avec un manque de fonds, le troisième étant le plus intéressant. Des trois toreros du " lorsqu'il jouit d'une certaine notoriété et estime du public.
Le premier Santiago Domecq destiné à Antonio Ferrera est reçu par lances disparates qui dénotent une certaine gêne du " href="https://toreoyarte.com/glossaire/matador/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">matador pour canaliser l’opposant. L’animal s’emploie dans la première pique et est épargné dans la seconde. Quite aisé de José Garrido par véroniques pieds joints et demie. Au second tiers le toro exhibe promptitude et faiblesse. Brindis au public. La faena de Ferrera débute par tanteo jusqu’au centre. Les premiers Passe de muleta donnée de la main droite. Elle est le pendant du natural (naturelle) donnée de la main gauche. Dans le derechazo l'épée est également tenue de la main droite et sert de support au tissu de la muleta.
Le second de Ferrera est un toro avec cuajo, cornalon, 1Toro ayant les cornes a forte tendance capacho, c'est-à-dire dont les cornes se dirigent d'abord vers le bas puis remontent légèrement vers les pointes, environs à hauteur des racines des cornes et que la courbure vers l'intérieur à l'extrémité n'est pas très accentuée. On dit aussi Corniacapachado.
Lorsque les cornes ont cette même conformation capacho mais que les pointes vont vers l'avant avec une tendance à se rapprocher et que les pointes terminent au dessus du niveau de l'insertion des cornes, on parle alors d' Acucharado.