Valdemorillo : 6 février 2017 – 3ème de feria – Triomphe total du Français Andy Younes

La

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Feria de La Candelaria annonçait pour sa troisième et dernière corrida une novillada de Gómez de Morales, une " href="https://toreoyarte.com/glossaire/ganaderia/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">ganadería formée en 2009 avec différents produits d’origine Juan Pedro Domecq via plusieurs fers de cette même origine. Ce « melting pot » a apporté ses fruits, en tout cas avec la novillada de Valdemorillo dont le jeu, la noblesse et durabilité permettaient ou auraient dû permettre un succès plus éclatant aux novilleros : seul Andy Younes sut tirer parti de ces qualités ajoutant les siennes propres de torero talentueux, pour captiver et séduire le public serrano madrilène. Sauf le premier qui paraissait un eral plutôt qu’un utrero et le deuxième, juste de présentation, les novillos suivants étaient mieux faits, les 4ème et 5ème presque des toros de poids et d’âge. Tous étaient mis à la distance minimum des picadors, le dernier poussant fort, mettant les reins et déplaçant le cheval. La mono-pique était de rigueur… Le 5ème recevait le prix de la vuelta al
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/ruedo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">ruedo, sans doute pour sa durabilité mais pas pour son comportement au cheval ni par sa qualité de charge en fin de