Une pluie de grêle a mis en doute la détermination du conclave quelques minutes avant la course. Mais lorsqu'ont sonnés les timbales, l'Aficion de Madrid s'est ruée à ses places et a fait face aux quelques chutes de pluies qui ont continuées en début de festejo. La Infanta faisait une nouvelle fois honneur à la "fiesta nacional" depuis le palco royal.
Il existe deux lectures possibles de cette corrida de Torrestrella. Celle du point de vue des Toreros qui dirait que les conditions atmosphériques de pluie et de vent, alliés au peu de durabilité des toros et pour certains, à quelques aspérités de comportement, ont rendu impossible une œuvre complète et un triomphe. L'autre lecture dirait que certains Torrestrellas ont donné des embestidas de qualité et des débuts de combat vibrant et que l'opportunité était là tout autant qu'elle fut saisie à la fois par les cuadrillas, en appliquant des bregas adaptées pour conserver force et allant des toros, et les Maestros en désirant à tout prix le succès à Madrid et en risquant le tout pour le tout. Mon sentiment est plutôt celui du point de vue des Toros.
Le premier Torrestrella de Juan BAUTISTA est superbe de présentation, burraco, " href="https://toreoyarte.com/glossaire/astifino/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">astifino, " href="https://toreoyarte.com/glossaire/veleto/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">veleto. Les véroniques sont templées et conduisent le