El verdadero "Pase Cambiado por La Espalda", según Alejandro Talavante

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Traducido por Felipe Olivera.

Olivenza, el 7 de marzo de 2015. Alejandro Talavante inventó ese día, el verdadero "Passe de muleta à une main dans laquelle le torero donne la sortie du coté opposé à celui de la main qui tient la muleta.  Le toreo cambiado s'oppose au toreo natural. Il est fréquent que la terminologie cambiado soit utilisée à tort pour signifier cambio.(Lire: Le Mal Nommé "Pase Cambiado por la Espalda")

  • L'expression "torear con los terrenos cambiados" signifie toréer en inversant les terrains du torero et du toro, l'un étant dans le terrain de l'autre et vice versa.
  • " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cambiado/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Pase Cambiado por La Espalda". En mi análisis anterior titulado "El mal nombrado Pase Cambiado por La Espalda", expliqué las razones técnicas e históricas que hacen que lo que estamos  acostumbrados a llamar con estos términos no sea cierto. Concluí tratando de imaginar que pase podría serlo cumpliendo con los preceptos técnicos e históricos relativos a la terminología "Pase Cambiado" dado "por la espalda". Me imaginé que podría ser un "Pase de las Flores - Cette passe de muleta doit son nom à une œuvre du peintre Ruano Llopis qui, représentant une passe de adorno inventée par Victoriano de la Serna (1910-1981) avait décoré sa toile de fleurs. C'est face au toro "Fajito" nº 26 du Marqués de Saltillo que le torero de Sepúlveda (Segovia),  créait cette passe "fleurie" le 25 juillet 1933 à Valencia,. Il coupait les deux oreilles et la queue.

    Il s'agit d'un

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/remate/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">remate dans lequel, en fin d’une série de Passe de muleta donnée de la main droite. Elle est le pendant du natural (naturelle) donnée de la main gauche.  Dans le derechazo l'épée est également tenue de la main droite et sert de support au tissu de la muleta.

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cornada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cornada pour l'Alternative de LOPEZ SIMON et Petardo de Nunez del Cuvillo." href="https://toreoyarte.com/glossaire/derechazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">derechazos le torero, pieds joints, "cite" le toro, la muleta présentée à l’envers, pico en bas, estaquillador vertical. Dans un mouvement de rotation de la muleta et de son corps, il passait le toro  sur son côté droit, ayant de la sorte arrêté la course de l'animal dans son dos.

    Lorsque cette passe s’exécute au début d’une série de derechazos, elle se nomme                  

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capeina/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capeína. Le cite est tel que la muleta, placée devant le corps du torero, est doucement déplacée sur le côté droit, présentée à l’envers.  Dans ce cas, le torero tourne dans le sens de la sortie du toro pour se retrouver face à lui pour enchaîner les derechazos.

    Selon cette dernière version, la passe prend le nom de capeína comme Pedro Gutiérrez Moya « Niño de la Vaya Capea!!!"  "Quelle Capea".

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capea/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Capea » devait la mettre à la mode à la fin des années 70. (voir capeína)

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/flores-pase-de-las/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Pase de las Flores", pero dije que la ejecución sería muy difícil. Pues Alejandro Talavante lo superó ejecutando a la perfección lo que es, sin ninguna duda, y sin sufrir crítica semántica, un "Pase Cambiado por La Espalda".

    El pase realizado por Talavante, a principio de la Faena en Olivenza, es una variante de la

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/arrucina/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">arrucina de Carlos Arruza y de la arrucina Prolongada según Joaquín Bernardo. A diferencia de estos dos pases que son pases de "" href="https://toreoyarte.com/glossaire/adorno/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">adorno" o "remate", Talavante ejecutó una versión para empezar la faena, al igual de "el 1 - La première utilisation du terme péndulo se réfère plutôt à un adorno ou manière de citer le toro.  Le torero de profil devant les cornes, muleta dans la main droite et tenue derrière son corps, lui donne un mouvement de balancier alternatif, à droite et à gauche, d’où le nom de "pendule" et l’expression hacer el péndulo. Ce cite se réalise très près des cornes et la sortie du toro, lorsqu'il chargera, se donne soit d’un côté soit de l’autre du corps du torero. Manuel Jiménez "Chicuelo II" (1929-1960) était spécialiste de cette suerte spectaculaire que son compatriote d'Albacete, Dámaso González (1948-2017), avait renouvelé dans les années 70-80 du siècle dernier.

    2 - Au Mexique "el péndulo" est une passe aussi appelée 

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cambio/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cambio por la espalda. Le péndulo fut mis à la mode par Carlos Arruza (1920-1966), torero mexicain contemporain de Manuel Rodríguez "Manolete" et fait partie du répertoire de bon nombre de toreros actuels qui ouvrent leur faena par cette " href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte. Celle-ci est débutée à distance par un cite de profil - profil gauche du torero vers le toro - au centre de la piste et consiste à montrer la muleta tenue de la main droite devant la poitrine du torero et la faire passer dans le dos changeant ainsi la charge et trajectoire du toro lancé (cambio). Pour réaliser cette passe le placement et l’immobilité du torero sont importants. De même son exécution doit tenir compte d’un toro dont le tranco sera régulier et la passe dans le dos devra donner la sortie en direction du
    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/toril/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">toril.

    Voir "Le mal nommé pase cambiado por la espalda" du 20 mars 2012 de Toreo y Arte de René-Philippe Arneodau.

             

    " href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Feria – Marco Pérez sort en triomphe, Tristan Barroso à l’infirmerie: deux talents à suivre. Bons novillos de El Parralejo.