Les toros de Garcigrande / Domingo Hernandez, contrairement à ce que certains vont vouloir nous faire croire n'ont mangé personne. Mais comme ils n'ont pas été aussi lisses qu'à l'habitude certains en font une montagne pour valoriser le travail des figuras. D'abord disons que même deux figurons comme Juli et Ponce, adulés par Bilbao, n'arrivent pas, en ces temps, à remplir Vista Alegre. Les gradins étaient couverts aux deux tiers. Ensuite la corrida de Garcigrande était bien présentée dans l'ensemble, les 2, 3 et 4 lavados de cara, c'est-à-dire pour être bref, ne faisant pas leur âge de tête et le troisième trop juste pour Bilbao. Les complications ont été de la distraction pour le quatrième, du désintérêt pour le 5 qui avait tendance à s'ouvrir vers l'exrérieur et du " href="https://toreoyarte.com/glossaire/calamocheo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">calamocheo (tête mobile et " href="https://toreoyarte.com/glossaire/derrote/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">derrotes légers) pour le premier le 4 et le 5. Le sixième était incertain. Aucun n'avait de mauvaises intentions et dans le contexte des défauts décrits ci-dessus, les Garcigrandes se sont tout de même montrés fidèles à la réputation de l'élevage avec une certaine docilité au moment de répondre aux toques.
Enrique Ponce torée en premier un toro volumineux, ouvert de cornes. Il