Lopez SIMON confirme l'Alternative avec Langostillo de Puerto de San Lorenzo portant le numero 77, né en 03/09 pesant 545 Kg Noir. Toro de peu de trapio, étroit de cornes. Après s'être arrêté complètement devant la " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capote/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capote de SIMON, il finira après un tour, par mettre latête par le bas dans le capote sans conviction et un peu de désintérêt. Il n'apprécie pas les deux piques et sort seul rapidement. El CID essaye un quite troqué par le manque de ferveur du toro qui vient en marchand. Le Puerto fait le Kangourou en banderille, se plaignant du " href="https://toreoyarte.com/glossaire/castigo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">castigo. Cérémonie d'Alternative par El CID témoins Daniel LUQUE. Brindis personnel. SIMON se positionne pour Estatuarios et le toro fait un La pose des banderilles al quiebro s’exécute habituellement au fil des barrières, le torero en ligne avec la direction de charge du toro, les pieds joints. Lorsque le toro arrive a jurisdicción le torero effectue un écart de la jambe de sortie qui modifie la trajectoire du toro, clouant les banderilles à son passage pour ensuite retrouver sa position initiale. On trouvera des différences dans la préparation et réalisation de cette suerte soit dans un cite debout pieds joints face au toro ou à genoux, soit en utilisant des banderilles courtes ou encore selon la suerte al violín
On doit l’invention de la pose des banderilles al quiebro au torero sévillan Antonio Carmona « Gordito » (1838-1920) qui exécuta le premier quiebro à corps découvert le 19 avril 1858, avec les banderilles, à Jerez de la Frontera, le 29 juin de la même année et dans un cite assis sur une chaise en septembre de 1859 à Séville.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/quiebro/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">quiebro à la hauteur du torero et lui inflige un voltereton terrible. SIMON revient à genoux au centre et donne une série à droite par le bas, de relief, le toro finissant par s'arrêter. La suite debout est le manso, peu piqué, se dégonfle et exprime la même incertitude due plus à une charge désordonnée qu'à une mauvaise inetntion. Compte tenu des circonstances l'attitude de SIMON est à la hauteur du rendez-vous. Entière caida et " href="https://toreoyarte.com/glossaire/traseras/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">trasera après de nombreux " href="https://toreoyarte.com/glossaire/pinchazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">pinchazos. " href="https://toreoyarte.com/glossaire/descabello/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Descabello. Palmas et salut.El CID est opposé à un premier qui de présentation correcte embiste dans la cape sans zèle ne permettant pas au CID de se confier. Bien piqué le toro pousse longuement. Puis trébuche. La seconde pique est légère. Le public proteste la faiblesse. Cérémonie de restitution des trastos. Le toro indique dans les premiers muleta”, une passe quelconque ou bien une passe technique et profonde." href="https://toreoyarte.com/glossaire/muletazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">muletazos qu'il ne va pas supporter l'afrontement. A cela s'ajoute un gazapeo qui rend impossible toute faena. Le public proteste. El CID insiste sans perspectives de résultat. Entière en arrière . " href="https://toreoyarte.com/glossaire/atravesada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">atravesada, descabello. Sifflets au toro. Silence.
Le quatrième de la corrida, second du CID est fin de type, cornigacho. Il désarme CID de sa cape. Encore un opposant distrait qui subit les piques sans classe se défendant de la tête. Quite de LUQUE par Passe de cape tenue dans le dos qui, de trois-quart ou de profil, consiste à donner un mouvement semblable à celui d’une passe de muleta à droite ou à gauche, généralement enchaînée avec une autre gaonera cette fois du côté opposé, c'est-à-dire sur la corne opposée. Elle tient son nom de Rodolfo Gaona (1988-1975), grand torero mexicain qui l’exécuta pour la première fois en 1910.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/gaonera/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Gaoneras, Passe de cape qui fait partie de la famille des largas. Elle s’exécute comme remate d’une série de véroniques ou de gaoneras principalement - aussi des autres suertes de cape - selon un mouvement de rotation de la cape donné par la main de sortie du toro lâchant la cape de cette main passée et reprise dans le dos par l’autre main. C’est un adorno qui requiert tempo et dominio car elle s’effectue en trois temps : le moment où le toro entre dans la cape - embroque -, le torero lâche la cape, la reprends enfin par l’autre main pour terminer la rotation et le vol de la cape.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/cornada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">CORNADA À CURRO DÍAZ ; MANOLO GONZALEZ DÉCASTÉS