La corrida d’El Parralejo était plus attrayante en vidéo qu’elle ne le fut en piste. Les " href="https://toreoyarte.com/glossaire/hechuras/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">hechuras étaient communes pour une arène de la réputation de Las Ventas. Quant aux exemplaires qui eurent de la mobilité, seule celle du dernier avait des qualités pour inspirer Tomás Rufo dans une faena qui ne marquera pas l’histoire du sable venteño. Miguel Ángel Perera et Fernando Adrián furent volontaires et conformistes à la fois.
Le premier de Miguel Ángel Perera est bas et lourd. Il se retourne à l’envers dans les " href="https://toreoyarte.com/glossaire/capotazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capotazos du " href="https://toreoyarte.com/glossaire/matador/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">matador sans lui permettre de toréer de cape. Le toro pousse lors de la première pique, après laquelle il se met à fléchir. Il gratte le sable et se montre distrait avant de charger pour la seconde, intentionnellement relevée dès le contact. Adrián doit rectifier sa position à chaque charge lors du quite par tafalleras. Perera débute par un " href="https://toreoyarte.com/glossaire/tanteo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">tanteo vers le centre. À droite, le toro obéit mais ne transmet pas. Le torero a du mal à trouver le rythme qui convienne, permettant de lier et de garder le