Estribo

1 – Étrier sur lequel s’appuie le pied du picador. Lors de l’épreuve des piques le toro, par chocs répétés contre l’étrier fait sonar el estribo en un bruit métallique. C’est le propre des toros qui ne gardent pas leur tête fixe contre le peto du cheval de picador et accusent le châtiment. Lors de la 

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte-de-varas/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte de varas, pour attirer l’attention du toro, le picador peut faire sonar el estribo en agitant son pied dans l’estribo.

2 –  Marchepied des barrières sur lequel s’appuient les toreros pour sauter dans le callejón. Pour réaliser la 

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte de banderilles al  Signifie "coupe en biais”. En terminologie taurine s’applique à deux suertes de banderillear lorsque le toro arrêté, au deuxième tiers, se trouve placé :


  • près des barrières, en tablas, le banderillero exécute le sesgo por fuera, partant en oblique vers le toro, cloue les banderilles et "sort" vers le centre de la piste.
  • au niveau du tercio, le banderillero exécute le sesgo por dentro, partant en oblique vers le toro, cloue les banderilles et "sort" vers les barrières ou le burladero le plus proche.

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/sesgo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">sesgo por fuera, le torero peut prendre appui debout les deux pieds sur l’estribo ou assis sur celui-ciAssis sur l’estribo le torero-banderillero peut aussi citer le toro pour un La pose des banderilles al quiebro s’exécute habituellement au fil des barrières, le torero en ligne avec la direction de charge du toro, les pieds joints. Lorsque le toro arrive a jurisdicción le torero effectue un écart de la jambe de sortie qui modifie la trajectoire du toro,  clouant les banderilles à son passage pour ensuite retrouver sa position initiale. On trouvera des différences dans la préparation et réalisation de cette suerte soit dans un cite debout pieds joints face au toro ou à genoux, soit en utilisant des banderilles courtes ou encore selon la suerte al violín

      

On doit l’invention de la pose des banderilles al quiebro au torero sévillan Antonio Carmona « Gordito » (1838-1920) qui exécuta le premier quiebro à corps découvert le 19 avril 1858, avec les banderilles, à Jerez de la Frontera, le 29 juin de la même année et dans un cite assis sur une chaise en septembre de 1859 à Séville.

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/quiebro/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">quiebro. De même, il peut commencer sa  faena de muleta assis sur l’estribo dans une attitude théâtrale mais aussi risquée.

                     17-escribano-en-el-estribo          aola3470-2

 

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