1 – Étrier sur lequel s’appuie le pied du picador. Lors de l’épreuve des piques le toro, par chocs répétés contre l’étrier fait sonar el estribo en un bruit métallique. C’est le propre des toros qui ne gardent pas leur tête fixe contre le peto du cheval de picador et accusent le châtiment. Lors de la " href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte-de-varas/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte de varas, pour attirer l’attention du toro, le picador peut faire sonar el estribo en agitant son pied dans l’estribo.
2 – Marchepied des barrières sur lequel s’appuient les toreros pour sauter dans le callejón. Pour réaliser la " href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte de banderilles al Signifie "coupe en biais”. En terminologie taurine s’applique à deux suertes de banderillear lorsque le toro arrêté, au deuxième tiers, se trouve placé :
- près des barrières, en tablas, le banderillero exécute le sesgo por fuera, partant en oblique vers le toro, cloue les banderilles et "sort" vers le centre de la piste.
- au niveau du tercio, le banderillero exécute le sesgo por dentro, partant en oblique vers le toro, cloue les banderilles et "sort" vers les barrières ou le burladero le plus proche.