Corrida de Baltasar Iban pour les nostalgiques et les optimistes dans un " lorsqu'il jouit d'une certaine notoriété et estime du public.
La course débute avec un Toro fin et bas, de peu de trapio, " href="https://toreoyarte.com/glossaire/corniapretado/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">corniapretado qui tarde à se centrer. Une fois dans la cape de Robleño il lui permet des véroniques pieds joints appréciés du public. Le toro pousse avec ses capacités limitées sous le fer. Mais il se déplace dans les engaños avec classe. Il retourne au cheval sans se faire prier et pousse dans une vara courte. Bolivar en profite pour dessiner un quite de deux chicuelinas et demie. Curieusement le toro brave en pique, se plaint aux banderilles. La faena commence au centre à droite en avançant entre les passes. À distance Robleño cite à droite dans des Passe de muleta donnée de la main droite. Elle est le pendant du natural (naturelle) donnée de la main gauche. Dans le derechazo l'épée est également tenue de la main droite et sert de support au tissu de la muleta.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/cornada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cornada pour l'Alternative de LOPEZ SIMON et Petardo de Nunez del Cuvillo." href="https://toreoyarte.com/glossaire/derechazo/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">derechazos de plus en plus centrés et par le bas. Toujours à droite le