
Les novillos de Montealto ont proposé diverses facettes comportant de la mansedumbre, de la faiblesse, du moteur mais aussi un manque de classe pure. Face à ce pot pourri, c’est Samuel Navalón qui a laissé la marque d’un novillero volontaire, capable et valeureux. Il n’a, néanmoins, pas été en mesure de capitaliser et de triompher, malgré de nombreux supporters présents sur les gradins.
Le premier de Diego Bastos, " href="https://toreoyarte.com/glossaire/cornidelantero/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cornidelantero, fléchit dans les véroniques du novillero. Une première la carioca" qui était à la mode lorsque le picador Miguel Atienza Caro (1902-1990) inventa cette " href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suerte applicable aux toros mansos de son époque d'activité (années 30 du siècle dernier). Il est le fondateur de la plus importante dynastie de picadors.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">FERIA