Los Toros al Caballo.

Lorsque les toros vont au cheval il est facile de se tromper sur l'interprétation de la qualité du combat du

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/bicho/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">bicho.  Je m'explique.  Si le toro est placé loin du cheval à la première pique et qu'il répond allègrement à l'appel du " href="https://toreoyarte.com/glossaire/varilarguero/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">varilarguero, ceci n'est pas indicatif de sa bravoure, du fait qu'il n'a pas encore senti le fer.  Il faut alors qu'il confirme par son comportement sous le fer, puis dans la pique suivante.  S'il s'endort contre le peto ou s'il ne pousse pas agressivement, on peut, malgré l'attaque lointaine initiale, considérer que l'animal ne s'est pas employé ou peu employé.  Supposons que le toro ait poussé sous la première pique, mais qu'il ne pousse pas à la seconde et sorte seul, alors il ne faudra pas conclure que le bicho fut brave.  Voir un animal attaquer de loin et peu s'employer sous le fer ne devrait pas permettre de conclure que nous avons vu un grand tiers de pique.  Seul le comportement du toro peut autoriser cette qualification, pas seulement celui du varilarguero.

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