Lopecina

C’est l’autre nom donné à la Cette passe de cape est la création du torero mexicain Miguel Ángel Martínez Hernández "El Zapopan”, d’où son nom, mise au goût du jour par Julián López « El Juli » (elle est parfois appelée par erreur lopecina) et introduite au répertoire de quelques toreros modernes.

Elle s’exécute en trois temps :

a) le

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/capote/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">capote est tenu de la main gauche à hauteur de la esclavina et de la main droite à l'extrémité droite du capote. Le toro est cité de face.

b) la main droite

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/lance/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">lance la cape dans un double mouvement rotatif ondulatoire, la main droite passant devant le corps avant de revenir à droite pendant que la main gauche d'abord restée fixe, se déplace vers la gauche en fin de mouvement pour donner la sortie au toro.

c) enfin le corps du torero s’enroule dans cette partie gauche de la cape comme dans une chicuelina pour faire passer le toro pour libérer la charge et de replacer pour donner la suivante jusqu'au

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/remate/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">remate.

          

Cette passe de cape est très souvent donnée en mouvement, le torero ajustant son placement pour éviter la charge, mais profitant de l'aspect spectaculaire du lance pour émouvoir le public.  L'exécuter les pieds cloués au sol sans rectifier la position est une rareté.  Ce lance requiert de la part du torero du tempo pour conjuguer le mouvement de la cape avec la distance du cite et la vitesse de charge du toro,  ce qui explique les ajustements avec le corps plus faciles à réaliser

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/flamear/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Flamear" href="https://toreoyarte.com/glossaire/zapopina/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">zapopina depuis que Julián López « El Juli » en est devenu un interprète habituel sans doute à la suite de son passage prolongé de jeune novillero au Mexique, pays d’origine de cette passe. Il l’a depuis importée en Europe et la C’est l’autre nom donné à la zapopina depuis que Julián López « El Juli » en est devenu un interprète habituel sans doute à la suite de son passage prolongé de jeune novillero au Mexique, pays d’origine de cette passe. Il l’a depuis importée en Europe et la lopecina figure désormais au répertoire d’autres toreros de l’escalafón actuel. La photo ci-contre montre « El Juli » dans le premier temps de cette série de mouvements de cape." href="https://toreoyarte.com/glossaire/lopecina/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">lopecina figure désormais au répertoire d’autres toreros de l’" href="https://toreoyarte.com/glossaire/escalafon/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">escalafón actuel. La photo ci-contre montre « El Juli » dans le premier temps de cette série de mouvements de cape. « Retour à la liste des catégories
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