Fernando Sánchez

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/fernando-sanchez/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Fernando Sánchez Martín est un des plus brillants banderilleros du moment. Il est principalement le « troisième » de la cuadrilla du Mexicain Joselito Adame et du novillero Francisco de Manuel (2018). Très sollicité, on le trouvera présent dans d’autres cuadrillas de matadors de toros (Luis Bolivar, Javier " href="https://toreoyarte.com/glossaire/castano/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Castaño) et novilleros.

Né à Talavera de la Reina le 13 avril 1988, il est le frère de Rubén Sánchez rejoneador, de sept ans son aîné, aujourd’hui picador, avec lequel Fernando fait ses premières armes de banderillero-auxiliador, en faisant partie de sa cuadrilla pendant  trois saisons de 2008 à 2010. Cette même année 2010, il commence à toréer comme

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/banderillero/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">banderillero en novilladas piquées et sa première participation a lieu à Arganda del Rey (Madrid) avec le novillero Gómez del Pilar avec lequel il torée tout au long de 2011 soit # 22 novilladas certaines dans des plazas de 1ère catégorie. En  2012, il se fait connaître pendant la
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">feria de San Isidro et, au cours d’un Spectacle tauromachique organisé à des fins bénéfiques durant lequel peuvent être "lidiés" (lidiar) tout type d'exemplaire de race brave, exclusivement mâle.    Peuvent y toréer des toreros en activité, retirés ou des novilleros tous en habit traditionnel andalou (traje corto).

Festival de Chinchón (Madrid)

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/maestro/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Maestro Mexicano"" href="https://toreoyarte.com/glossaire/festival/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">festival, il est remarqué par Javier Castaño qui l’incorpore à sa cuadrilla à partir de la Saison. Dans le langage taurin, la temporada est la période de l’année réduite à la saison taurine de mars à octobre. Certains toreros font aussi leur temporada aux Amériques - Mexique, Colombie, Pérou, Equateur ou Vénézuela - de novembre à avril." href="https://toreoyarte.com/glossaire/temporada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">temporada 2013. Pendant trois ans il fait partie de cette fameuse cuadrilla qui, le 1er juin 2013, devait effectuer une vuelta triomphale au terme du los "medios".- et celle du centre.
3 – On appelle aussi le tercio de quites le moment où, entre chaque pique et après la dernière, les toreros rivalisent par des séries de passes de cape selon un ordre défini.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/tercio/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">tercio
de banderilles au 2ème toro – fait historique et unique à ce jour - à la demande du public enthousiaste de Las Ventas. Les toros étaient des Héritiers de D. Celestino Cuadri. Cette cuadrilla était formée des picadors Plácido « Tito » Sandoval (qui avait piqué le 2ème cuadri et Fernando Sánchez Muriel, des banderilleros Marco Galán, David Adalid et donc Fernando Sánchez.

Le style de Fernando Sánchez, à la pose des banderilles, se caractérise par sa façon de «citer» le toro, du centre de la piste, de profil, et marcher avec torería à la rencontre du toro et une fois lancé, décrire un court quart de cercle - presque de poder a poder - habituellement sur le côté gauche, avant l'Moment auquel le toro entre dans la cape ou dans la muleta du torero. Ce moment se définit  d'une part par l' embestida  du toro qui se met à humilier pour "entrer" dans le leurre et d'autre part par le mouvement du leurre pour conduire le toro dans la passe. Cet instant de l'embroque peut avoir lieu, selon les choix techniques du torero, soit en avant du corps (leurre présenté en avant, par exemple muleta adelantada), soit à hauteur du corps, soit en arrière du corps (dans ces deux derniers cas on parle, par exemple, de muleta retrasada).

On dit aussi qu’à ce moment le toro entre en jurisdicción (le toro entre dans le terrain du torero et vice versa).

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/cargar/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">cargar la " href="https://toreoyarte.com/glossaire/suerte/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Suerte." href="https://toreoyarte.com/glossaire/embroque/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">embroque et clouer les bâtons réunis en haut du garrot et sortir au pas. En visionnant des vidéos, il déclare s’être inspiré du style des banderilleros célèbres des temps modernes tels que Julio Pérez «El Vito» (1928-2016) et Manolo Montoliu (1954-1992).

                    

La notoriété et les prix n'ont cessé de récompenser Fernando Sánchez à chacune de ses apparitions: prix de La San Isidro, de la Feria de Séville et ceux de multiples associations et peñas taurines. Sans appartenir à une cuadrilla déterminée et très sollicité, en 2022, il totalisait 101 prestations - un record!! Néanmoins, il se rapprochait naturellement de Tomás Rufo, jeune

" href="https://toreoyarte.com/glossaire/matador/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">matador de Pepino (près de Talavera de la Reina), tout en restant 1 - Se dit du toro qui n’obéit pas aux "cites" des toreros, qui abandonne la suerte de sa propre initiative sans s’intéresser aux capes ou qui sort tout seul de la pique.

2 - S'applique aussi au banderillero ou picador qui n'appartient pas à une cuadrilla fixe et qui se donc libre (esp: suelto) pour être sollicité à l'occasion par un matador de toros ou novillero et être intégré à l'équipe correspondante.
Il est rappelé que les matadors de toros sont classés para catégories ou groupes en fonction du nombre de contrats remplis l'année précédente. Ceux du Groupe Spécial sont ceux qui, en 2024, ont toréé un minimum de 37 corridas et sont les seuls à disposer d'une cuadrilla fixe comme le stipule le règlement en cours." href="https://toreoyarte.com/glossaire/suelto/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">suelto. Il est titulaire de sa cuadrilla depuis 2022.

 

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