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Madrid 30 septembre 2019 – Puerta Grande pour Emilio de Justo – Cogida de Ginés Marín.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/feria/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">Feria d’Automne annonçait des toros de Puerto de San Lorenzo et La Ventana del Puerto, du même propriétaire (famille Fraile de Salamanque) mais d’origines différentes les premiers d’Atanasio Fernández et les autres de Aldeanueva (suivant une ligne ancienne de Juan Pedro Domecq) ceux-ci sortant en 1ère et 3ème positions. Le tirage au sort du 27 août avait désigné Emilio de Justo, « Román » et Ginés Marín pour affronter ces toros. Il faut dire qu’aucuns ne furent faciles et les toreros durent apporter leur savoir-faire et aussi leur courage pour les combattre avec la responsabilité qui pèse tant à Madrid. Les 1er, 4ème et 6ème avaient les cinq ans sonnés. La moyenne de poids était de 593 kg avec un mastodonte de 678 kg (5ème). Aux piques, les toreros faisaient de leur mieux pour bien placer les toros à une bonne distance pour des charges qui ne se concrétisaient pas toujours par une poussée et un châtiment souhaités. Le 1er saignait beaucoup mais il tenait le coup et le 4ème poussait jusqu’aux planches le cheval et le picador encaissait bien l’effort. Il était applaudi. Sans avoir les charges de vrais toros braves, les 1er, 3ème et 4ème permettaient des faenas sans doute meilleures dans la muleta d’Emilio de Justo et de Ginés Marín. Les autres plutôt hésitants sans vraiment se livrer apportaient des difficultés qui se soldaient par les cogidas de « Román » et Ginés Marín.Emilio de Justo était le triomphateur de cette corrida. Il coupait une oreille à chacun de ses toros à la suite de deux faenas méritoires, volontaires et classiques adaptées aux conditions pas toujours faciles de ses opposants. Sa première faena débutait par des passes de la droite que le toro prenait avec " href="https://toreoyarte.com/glossaire/codicia/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">codicia mais avec tendance à accrocher la muleta en fin de trajectoire. La série suivante plus réunie, les muleta”, une passe quelconque ou bien une passe technique et profonde.
" href="https://toreoyarte.com/glossaire/cornada/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">CORNADA À CURRO DÍAZ ; MANOLO GONZALEZ DÉCASTÉS

Il faut souligner l’effort d’Emilio de Justo qui sut s’adapter aux conditions des toros. A la fin du
La mollesse de la charge n’empêchait pas qu’en dessinant une
Venaient ensuite des doblones «templés» avant de porter une demi-estocade et un descabello. La pétition d’oreille était obligatoire et justifiée et… pas accordée. La vuelta, elle, était largement fêtée. Ginés Marín avait rendu, par son grand talent, son toro meilleur qu’il ne l’était en réalité. Malheureusement, au 6ème, un cite lointain de la gauche et le déplacement du toro donnaient l’illusion d’une bonne charge qu’en réalité n’était pas. Au centre du ruedo, d’un coup de plat de corne, Ginés Marín était déséquilibré et la pointe de la corne atteignait son visage. Il se relevait le visage ensanglanté avec sans aucun doute une cornada de espejo – de miroir. Il était emporté à l’infirmerie et Emilio de Justo mettait à mort le toro.