Parar

C’est le premier temps du muletazo, du cite lorsque le torero, les pieds rivés au sol, s’apprête à conduire le toro dans la muleta. Luis Bollain (1908-1983 – critique et écrivain taurin) précise que parar ne se définit pas seulement parce que le torero reste fixe sur ses appuis sinon qu’il «joue des bras» parce que «mouvoir les bras» c’est gagner en «quiétude»

C’est le premier volet du triptyque tauromachique, du bien toréer, du parar, mandar y templar.

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