L’affiche de la corrida d’aujourd’hui était sans doute la plus attractive que l’on put imaginer. Elle se déroulait à guichets fermés avec un mix de toros (ce qui explique, sans doute la pénurie d’animaux en ce début de saison) Deux toros de José Vàzquez (de Madrid) 1er et 2ème, deux de Garcigrande (de Salamanque) 4éme et 5éme, et deux de El Parralejo (d’ Andalousie) 3ème et 6ème, pour deux toreros de style opposés mais du goût de l’afición qui suscitaient un grand engouement: Emilio de Justo et Juan Ortega qui venait d’accumuler, avec succès, des contrats aux Amériques. Mais comme cela arrive souvent ce que propose la " href="https://toreoyarte.com/glossaire/empresa/" target="_blank" data-mobile-support="0" data-gt-translate-attributes='[{"attribute":"data-cmtooltip", "format":"html"}]' tabindex="0" role="link">empresa – affiche – le torero dispose - sa faena – et le toro décompose – par ses mauvaises conditions. manque de bravoure, faiblesse, etc… Ce fut exactement l'expression de l'adage et le résultat de cette corrida qui restera, malgré le succès d’Emilio de Justo, une déception. Seul un toro, le 5ème, de Garcigrande, lui permettait de couper deux oreilles. Pour le reste, les toros de José Vázquez montraient une faiblesse et/où un manque bravoure et caste; le 3ème de El Parralejo, Lavado de Cara".
Emilio de Justo touchait en premier un toro hondo,